J’ai passé beaucoup de nuits calmes et sans espoirCroisant mes pieds pour prierJ’aspire et expire comme tout le mondeOh le monde ? Il existe à peine Mais l’autre monde existeL’autre vent, les autres agneaux sacrifiésEt les autres visages pas sûrement vivantsEn un mot ils appartiennent à l’autre monde Mes mains…