Quand le vent eut frappé,quand fut détruite la Cité de l’âme,quand la tyrannie eut bousculé jusqu’àu dernier des souffles, le Voyageur fut jeté, a brindille dans l’ouragan,jusqu’au désert sans route,vers l’exode sans but. D’autres, nombreux, des familles entières jetées auvide, au rien, à l’égarement,cherchant un lieu, et ne sachant,de l’eau,…