Quand je n’avais plus un sou,je trouvais mon bonheur en rêvant la nuit.Le sommeil allégeait tendrementles tortures du jour,mon sommeil était calme.Alors, je songeais que la Mort doit être ainsi,un long apaisement,je me demandais : comment passerai-je ma journée de demain ?Cette question n’était que l’obsession du jour pénible.Quand…