O morts ! dans vos tombeaux vous dormez solitaires,Et vous ne portez plus le fardeau des misèresDu monde où nous vivons.Pour vous le ciel n’a plus d’étoiles ni d’orages,Le printemps, de parfums, l’horizon, de nuages,Le soleil, de rayons. Immobiles et froids dans la fosse profonde,Vous ne demandez pas si les…