(Sur la mort d’Iris en 1654.)Parmi les doux transports d’une amitié fidèle,Je voyais près d’Iris couler mes heureux jours:Iris que j’aime encore, et que j’aimerai toujours,Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle:Quand, par l’ordre du ciel, une fièvre cruelleM’enleva cet objet de mes tendres amours;Et, de tous mes…