Trognes ingrates et divinesFrottées durant des mois contre ma vieMuseaux mutins, mufles doux de cabrisVampires aux ruses câlinesVous lampez mes artères et mon grand sympathiqueGavez-vous, et moi, le soir, inerteAphone et euphorique la lumière vertede vos regardsle bruit d’océans et de foiredes pieds boueux qui marchent sur ma têtedes cris…