Aux jours où la chaleur arrêtait toute vie,Quand le soleil, sur les labours exténués,Pressait contre son coeur le vignoble muet,-A l’heure où des faucheurs l’armée anéantieÉcrasait l’herbe sous des corps crucifiés,-Seul debout, en ces jours de feu et de poussière.En face de sommeil accablé de la terre,Assourdi par le cri…