Recevez donc, mânes de l’ami chéri!qui dort tôt au tombeau, mon chant que voilà:de son très brusque départ il me consola,il m’a la vieille plaie de l’amour guéri. Brièveté de nos doux liens, dis aux espritscombien peu sont nombreux les jours d’éclat,qu’heureux est celui, qui avec Bogomilad’espoir du bonheur d’outre-tombe…
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Je suispour Toice que tu voudrais êtreau fond de Toi-mêmeà l’instantoù ta pensée arrêtesa course Je disce que Tu voudraisdirel’instantoù ton âmeaniméevoudrait dire des mots Enfinje suis ton autreToi-mêmedans l’intimitéoù se rejoignentdeux penséesdeux êtrestoi et moi Syad William Extrait du livre :Anthologie de la Poèsie d’Afrique Noire d’Expression Française©Hatier Paris…