L’après-midi s’épanouit sur ma fenêtre.Le vent, frôle les feuillesen leur déployant des ailes.pendant que la ville est bercée par le ventavec un chant de crissement frais.La terre baignée par la pluie de souvenirsqui restent scellés à ma peau,ses lèvres sur mes paupières,embrassées par le bonheur.Étourdie de la vie.
Diana LICHY