Ecrits après une visite au Cimetière du Père-Lachaise Je suivais, tout pensif et sombre, ces allées Que bordent de milliers de tristes mausolées, Rêvant l’éternité dont la tombe est le seuil ; Je voyais la nature elle-même être en deuil : Les feuilles des rameaux, par le froid détachées, Voltigeaient…