Le vent du crépusculeEmpreint de ton odeurParvient jusqu’à nousTe vahine faateni tihaniTes yeux lancent des flammesSemblables aux rayons du soleilTelles les vagues océanesTon corps onduleEnivrant d’amour les guerriers maohiVisage dissimulé par ton opulente chevelureBraise de l’amourTu fais pleurer à genouxLes guerriers maohiTranspercés par ton amourO vahine faateni tihani. TE VAHINE…