France ! ô belle contrée, ô terre généreuseQue les dieux complaisants formaient pour être heureuse,Tu ne sens point du Nord les glaçantes horreurs ;Le Midi de ses feux t’épargne les fureurs ;Tes arbres innocents n’ont point d’ombres mortelles ;Ni des poisons épars dans tes herbes nouvellesNe trompent une main crédule…