Au fond de la chambre éléganteQue parfuma son frôlement,Seule, immobile, elle déganteSes longues mains, indolemment. Les globes chauds et mats des lampesQui luisent dans l’obscurité,Sur son front lisse et sur ses tempesVersent une douce clarté. Le torrent de sa chevelure,Où l’eau des diamants reluit,Roule sur sa pâle encolureEt va se…