To break out of the chaos of my darknessInto a lucid day is all my will.My words like eyes in night, stare to reachA centre for their light: and my acts thrownTo distant places by impatient violenceYet lock together to mould a path of stoneOut of my darkness into a…
-
-
LE POÈTE Du temps que j’étais écolier,Je restais un soir à veillerDans notre salle solitaire.Devant ma table vint s’asseoirUn pauvre enfant vêtu de noir,Qui me ressemblait comme un frère. Son visage était triste et beau :A la lueur de mon flambeau,Dans mon livre ouvert il vint lire.Il pencha son front…
-
Dimitris P. Kraniotis/ Δημήτρης Π. Κρανιώτης La Fin Le goût des fruits ne part pas de ma bouche, mais la tristesse des mots détruit les nuages et presse la neige comptant les cailloux. Mais toi, tu m’as pas dit pourquoi tu m’as trompe, pourquoi avec la peine et…
-
Edgar Allan Poe (born Edgar Poe; January 19, 1809 – October 7, 1849) Once upon a midnight dreary, while I pondered, weak and weary, Over many a quaint and curious volume of forgotten lore, While I nodded, nearly napping, suddenly there came a tapping, As of some one gently…
-
Tu me reprends ton amitié :Je n’ai donc plus rien dans le monde,Rien que ma tristesse profonde.N’en souffris-tu que la moitié,Toi, dans ta mobile amitié,Va ! Je plaindrai ta vie amère.Que Dieu pour l’amour de sa mère,Ou pour moi, te prenne en pitié ! On ne commande pas l’amour :Il…
-
England’s petite nautical Norman church, St Nicholas.A high altar apex oasis, green Uphill downsSound swept by howling savanna winds.Wondrous panoramic views, fluttering Chalkhill Blues.A time out of time, sweet Aromatic Thyme.Dark Viking hours, treading on Yellow Rock Rose.From the flame, to the crest;The returning rambling robin constructs her nest. Seafaring…
-
Il me parle faussement détachéd’angoisse et de bitume qui colleil tourne autour de son coudeux fois sa longue écharpe ses lunettes solaires réfléchissantesaveuglent son regard blancmême au plus clair du jouret il fait maintenant nuit pleine il lui faut un casque pour son blueset les néons gueulards de la ruene…
-
Act III, Scene 2 from King Lear by William Shakespeare (England 1564 – 1616) ) King Lear Blow, winds, and crack your cheeks! rage! blow!You cataracts and hurricanoes, spoutTill you have drench’d our steeples, drown’d the cocks!You sulphurous and thought-executing fires,Vaunt-couriers to oak-cleaving thunderbolts,Singe my white head! And thou, all-shaking…
-
Uncategorized
Auprès de quelqu’un qui vous aime
Auprès de quelqu’un qui vous aime,S’asseoir enfin et demeurerTranquillement, longtemps et mêmeSans avoir à se séparer. Etre assis bien près l’un de l’autre,Tendres, parfois se regarder,Sentir une main sur la vôtreSe poser, prête à vous aider. Loin des disputes et des rires,Rêver, rêver ou même lire,Ou méditer, ou composer,Mais ne…
-
Longue comme des fils sans fin, la longue pluieInterminablement, à travers le jour gris,Ligne les carreaux verts avec ses longs fils gris,Infiniment, la pluie,La longue pluie,La pluie. Elle s’effile ainsi, depuis hier soir,Des haillons mous qui pendent,Au ciel maussade et noir.Elle s’étire, patiente et lente,Sur les chemins, depuis hier soir,Sur…
-
Uncategorized
Le silence
Le silence est une page blanche un murun murun murun murun murun murun mur une ligne droite une ligne droite une ligne droite une ligne droite Mon silence rime avec fréquenceTon silence me tueSon silence m’inquièteNotre silence de couple veut tout direVos silences nous punissentLeurs silences ont l’odeur de la…