Triolet – vers 1390 – Jean Froissart
Mon coeur s’ébat en odorant la rose
Et s’éjouit en regardant ma dame :
Trop mieux me vaut l’une que l’autre chose.
Mon coeur s’ébat en odorant la rose.
L’odeur m’est bon, mais du regard je n’ose
Jouer trop fort, je vous le jur’ par m’âme.
Mon coeur s’ébat en odorant la rose
Et s’éjouit en regardant ma dame.