Ils ne restent que des souvenirs,
Ces jours qu’on a passés en commun.
Etant jeune, on n’a profité de tant de plaisirs
A présent, on nous a séparés du destin.
En ce temps là, nos nos ennuis semblaient fuir,
Ah ! Les longues veillées à deux, pleines d’entrain !
Avec toi, je voyais ces jours éternels
Où l’amour ne cesserait de prospérer.
Plus jamais d’amertume nouvelle
Et l’on verra la paix s’installer,
Car on nous a oint d’une inquiétude cruelle
Qui s’est enracinée dans le cœur pour durer.
Celle-ci a brisé notre espoir conventionnel,
Chacun de nous se retrouve désorienté.
Le lieu ou nous fîmes connaissance,
Je m’empresse de m’y déplacer.
Aussitôt, ton visage surgit dans ma conscience
Je le fixe des yeux, par des larmes inondés
Les ans nous ont séparés par coïncidence,
Ceux là mêmes qui ont lié notre amitié
A présent, elle s’avère sans importance
Puisque de moi, ils viennent de t’éloigner.
Quand le printemps nous a quitté,
Nous avons regretté la verdure.
Qui a cru à cette réalité
De nous voir plongés dans un vain futur ?
Maintenant que notre tour est arrivé,
Notre amour est balayé par le vent à vive allure.
C’est à croire qu’il n’a jamais existé,
Car dès le début, il avait déjà connu l’usure.
Ahmed ARARBI
Avec l’aimable permission de l’auteur
Publlié le 15 septembre a Paris chez les éditions EDILIVRE
dans un recueil de poésie intitulé “le regard vers le passé”
Mes félicitations cher auteur pour cette métaphore .
Wawww!!!!! Quelle aventure spirituelle vers mon epoque d'enfance que Mr hamed m'a fait re voir a travers ce beau poeme ?? Sincèrement ce genre de poètes ne sont pas nombreux .Toutes les félicitations .
Je voulais bien recevoir son email si quelqu'un de vous le possède . Merci de votre compréhension chères lectrices et lecteurs .
Tres bon poème plein de métaphore . Grand Merci pour l'auteur