Yakoute Abdouroihamane
Où rien n’est défunt
Les purs des fruits à gogo
Comme si le tam-tam résonne le tango.
Un endroit où santé est prospérité
Quel genre de vie sans une priorité
Il est vrai que la mer est capricieuse
Pour y nager la sirène doit être malicieuse.
Parait-il que tout est science
Naturelle que virtuelle sans perdre conscience
L’œil distrait des beautés d’une vivacité sereine
Arbres sur qui je passe, la lune baptisée reine.
Aux iles de la lune
Une étoile, une vie de chacune
Ça m échappe, charmes du jour où je lasse la contemplation
Oh ! Je remonte à la source d une unique constellation.
Quel genre d’espèce a ton humble
Climat ; l’Animal s en comble
De joie; ces iles où montagne est temple
Vous êtes si belle, végétation ample.
Tout le monde se procure du désir
Dans vos forets si parfumées, sur ces marécages
Et sur les plages de sables fins, on tourne la pag
Devant le muet plaisir.
Aux iles volcaniques
Un regard nostalgique
Ronge l’ordre canonique
Vos paysages, vos plages sont des images
Qui habient mes pensées, ainsi je les rends hommage.
© Yakoute Abdouroihamane
Avec l’aimable autorisation de l’auteur
chapeau frère! que des belles paroles digne de ce nom !