Repos éternel donne à cil,
Sire, et clarté perpétuelle,
Qui vaillant plat ni écuelle
N’eut oncques, n’un brin de persil.
Il fut ras, chef, barbe et sourcil,
Comme un navet qu’on ret ou pèle.
Repos éternel donne à cil.
Rigueur le transmit en exil
Et lui frappa au cul la pelle,
Nonobstant qu’il dit : ” j’en appelle ! “
Qui n’est pas terme trop subtil,
Repos éternel donne à cil.
François Villon (c. 1431–1464)